Pharmacie du Parc Suresnes - Flux RSS de conseils santé Les conseils santé de Pharmacie du Parc Suresnes et dossiers sur les maladies et pathologies les plus courrantes. https://delpharmacy.wellandwell.fr/conseils Tue, 14 Jan 2025 11:13:07 +0100 <![CDATA[Comment réaliser les gestes de premiers secours ?]]> Comment réaliser les gestes de premiers secours ?

Savoir réagir en cas d’urgence peut sauver des vies !

Les gestes de premiers secours sont simples à apprendre mais essentiels pour protéger, alerter et aider efficacement une victime.

Et si vous preniez le temps de vous former ? Chaque geste compte, et votre action pourrait faire toute la différence.

 

  1. Assurez-vous que vous et la victime êtes en sécurité (éloignez les dangers, comme la circulation...).
  2. Vérifiez si la personne est consciente et respire normalement. Si elle est inconsciente mais respire, placez-la en position latérale de sécurité.
  3. Alertez les secours. Appelez le 15, le 18 ou le 112 et décrivez la situation avec précision : lieu, état de la victime, etc.
  4.  Si la victime ne respire pas, commencez un massage cardiaque. Effectuez des compressions thoraciques régulières.
  5. Si la victime saigne abondamment, appliquez une pression sur la plaie avec un tissu propre et maintenez-le jusqu’à l’arrivée des secours.
  6. Restez auprès de la victime et parlez-lui calmement pour la rassurer en attendant les secours.
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https://www.mesoigner.fr/conseils/734-comment-realiser-les-gestes-de-premiers-secours
<![CDATA[Comment reconnaître l'acné hormonale ?]]> L'acné hormonale, fréquente et souvent source de mal-être, est une problématique cutanée qui touche majoritairement les adolescents, mais aussi les adultes, en particulier les femmes. Plus qu'un simple désagrément esthétique, cette forme d'acné peut devenir sévère dans 15 à 20 % des cas, nécessitant une prise en charge adaptée. 

Qu’est-ce que l’acné hormonale ?  

Touchant près de 80% des adolescents et des jeunes adultes, l’acné peut s’avérer très préoccupante, surtout en période de puberté.  

Les différentes formes d'acné : reconnaître les types d'acné pour mieux les traiter 

L’acné, est une infection cutanée qui peut prendre différentes formes, celles-ci sont dépendantes des causes et des caractéristiques des lésions. Chaque type d’acné nécessite une prise en charge différente pour limiter les impacts sur la peau et prévenir les éventuelles complications. Voici les différents types d’acné existent :  

  • L'acné hormonale ; influencé par les variations hormonales, elle touche principalement les femmes et peut être liée à une phase de la vie telle que : la puberté, les cycles menstruels, la grossesse ou encore la ménopause.  

  • L'acné rétentionnelle ; caractérisée par des points noirs et des microkystes, elle résulte d’une obstruction des follicules pileux qui sont dues soient à un excès de sébum, soit à des cellules mortes. 

  • L'acné inflammatoire ; caractérisée par des rougeurs et des gonflements, la peau devient alors plus sensible et parfois douloureuse. 

  • L'acné kystique ; généralement plus profonde et plus douloureuse, elle peut laisser des cicatrices importantes si elle n’est pas traitée à temps. 

  • L'acné sévère ; généralement plus importante, elle nécessite une prise en charge médicale. 

  • L'acné d’adulte ; survenant à partir de 25 ans, elle peut être liée au stress, a des déséquilibres hormonaux ou encore à des facteurs environnementaux.  

  • L'acné fulminate ; plus rare que les autres formes d’acné, elle est associée à des symptômes systémiques (fièvre, douleurs articulaires, douleurs musculaires) et nécessite une prise en charge urgente par un dermatologue.   

L'acné hormonale est une maladie de peau directement influencée par les hormones, et plus particulièrement les androgènes comme la testostérone. Ces hormones, en stimulant les glandes sébacées, provoquent une surproduction de sébum, facteur clé du développement de l'acné.  

Bien qu’elle soit courante durant l'adolescence autant chez les femmes que les hommes en raison des bouleversements hormonaux, l'acné hormonale peut persister à l'âge adulte, notamment chez les femmes ! Ces poussées d'acné sont souvent liées au cycle menstruel, mais peuvent également être déclenchées par d'autres facteurs hormonaux

En cas d’acné persistante, nous vous recommandons de consulter votre pharmacien référent ou votre médecin afin d’identifier les causes de votre acné et de bénéficier d’une prise en charge adaptée.  

Quelles sont les causes de l’acné hormonale ?  

Fluctuations hormonales 

Certaines étapes de la vie et situations influençant les hormones peuvent favoriser l’acné hormonale

  • Puberté : les changements hormonaux majeurs à l’adolescence, notamment l’augmentation des androgènes comme la testostérone, stimulent les glandes sébacées. Ce phénomène est la principale cause d’acné chez les adolescents. 

  • Cycles hormonaux féminins : les variations hormonales liées au cycle menstruel provoquent souvent des poussées d’acné, particulièrement durant la phase lutéale (après l’ovulation). 

  • Grossesse : les bouleversements hormonaux pendant la grossesse, notamment l’augmentation de la progestérone, peuvent exacerber l’acné chez certaines femmes. 

  • Ménopause : la diminution des œstrogènes à la ménopause peut entraîner un déséquilibre hormonal, favorisant l’apparition d’acné

  • Stress : le stress chronique stimule la production de cortisol, une hormone pouvant indirectement aggraver l’acné en augmentant l’inflammation et la production de sébum

Facteurs déclenchants  

Au-delà des fluctuations hormonales, certains éléments externes ou médicaux peuvent déclencher ou aggraver l’acné hormonale tels que : 

  • Contraception : la prise ou l’arrêt de contraceptifs hormonaux, en modifiant les niveaux d’œstrogènes et de progestérone, peut entraîner une poussée d’acné temporaire. 

  • Troubles endocriniens : l'acné hormonale peut également être déclenchée par des troubles endocriniens tels que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Cette pathologie hormonale, fréquente chez les femmes, provoque des déséquilibres hormonaux qui augmentent la production de sébum et provoquent l'apparition de l'acné

Quels sont les symptômes de l’acné hormonale ?  

L’acné hormonale se manifeste par des lésions spécifiques qui varient en fonction de la gravité et de l’évolution de la pathologie. Elle présente des caractéristiques distinctives qui permettent de la différencier d’autres types d’acné

Le premier critère est la localisation des lésions 

L’acné hormonale touche principalement la mâchoire, le menton et parfois le cou. Cette localisation est fortement liée à l’influence des hormones sur les glandes sébacées situées dans ces zones. Chez certains patients, des lésions peuvent également apparaître sur le dos et la poitrine, où les glandes sébacées sont particulièrement actives. 

Le second critère est le type de lésions 

  • Points noirs et points blancs : ces obstructions des follicules pilosébacés sont souvent le premier signe visible d’une acné hormonale

  • Papules et pustules : les lésions inflammatoires rouges ou remplies de pus indiquent une aggravation de l’inflammation. 

  • Nodules et kystes : dans les formes plus sévères, des lésions profondes et douloureuses se développent, augmentant le risque de cicatrices. 

Chronologie des poussées 

Les poussées d’acné hormonale chez les femmes, souvent rythmées par le cycle menstruel une à deux semaines avant les règles, peuvent également persister à l’âge adulte, impactant durablement le quotidien et l’estime de soi. 

Les zones affectées par l’acné hormonale présentent fréquemment une inflammation marquée, avec rougeurs et sensibilité accrues, accompagnées d’une peau grasse due à une hypersécrétion de sébum. Sans traitement adapté, cette affection peut entraîner des cicatrices permanentes, telles que des marques en creux ou hyperpigmentées. 

Les symptômes de l’acné hormonale, bien que courants, peuvent varier d’un individu à l’autre en fonction de l’intensité des fluctuations hormonales et de la gravité de la maladie. Pour limiter les lésions et prévenir les complications, il existe en parapharmacie des produits adaptés, tels que des nettoyants doux, des crèmes spécifiques pour peaux à tendance acnéique, et des soins ciblés contre les imperfections. Toutefois, si les symptômes persistent ou s’aggravent, il est essentiel de consulter un professionnel de santé pour une prise en charge adaptée et éviter les séquelles à long terme. 

 

Sources :  

https://www.medecindirect.fr/maladies/acne-hormonale  

https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/acne/definition-symptomes-evolution  

https://www.aderma.fr/fr-fr/conseils-d-experts/boutons-acne/type-d-acne  

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https://www.mesoigner.fr/conseils/733-comment-reconnaitre-lacne-hormonale
<![CDATA[Réduire l'eczéma grâce à l'élimination de certains aliments]]> Vous avez des plaques, des rougeurs ou encore des démangeaisons sur votre peau ? Il s'agit sans doute d'eczéma. Également appelé dermatite atopique, l'eczéma est une maladie cutanée inflammatoire et prurigineuse, c'est-à-dire qu'elle entraîne des démangeaisons intenses. En France, cette pathologie touche environ un Français sur trois au cours de sa vie, ce qui en fait l'une des affections dermatologiques les plus répandues. Elle se classe troisième parmi les maladies chroniques de la peau, après l’acné et les mycoses. 

Malgré sa prévalence, l'eczéma reste souvent mal compris, ce qui peut retarder le diagnostic ou compliquer la gestion des symptômes. Cette maladie ne se limite pas à un simple inconfort : elle impacte significativement la qualité de vie, entraînant des troubles du sommeil, du stress, voire une altération de l'estime de soi. 

Comprendre ce qu’est l’eczéma 

Pourquoi apparaît l’eczéma ? 

L'eczéma, ou dermatite atopique, est une inflammation chronique de la peau caractérisée par des rougeurs, des démangeaisons, et parfois des lésions suintantes. Cette pathologie peut se manifester à tout âge, mais elle débute fréquemment dans l'enfance, touchant jusqu'à 20% des enfants dans le monde. 

Cette maladie inflammatoire de la peau se manifeste par des poussées récurrentes, souvent associées à une peau sèche et des démangeaisons intenses. L'eczéma résulte d'un ensemble de facteurs, à la fois génétiques, environnementaux et immunologiques. Ces épisodes de démangeaisons peuvent varier en intensité et en durée selon les individus. Il existe différents types d'eczéma, dont les principaux sont :

  • L'eczéma atopique : forme la plus courante, souvent liée à une prédisposition génétique.

  • L'eczéma de contact : provoqué par une réaction allergique ou irritative au contact de certaines substances.

  • L'eczéma séborrhéique : localisé principalement sur le visage et le cuir chevelu, souvent lié à un excès de sébum.

Quels aliments peuvent aggraver l'eczéma ?

L'alimentation joue un rôle crucial dans la gestion de l'eczéma, car certains aliments peuvent amplifier les inflammations ou provoquer des poussées qui peuvent être très désagréables. Voici ce qu'il est préférable de limiter ou d'éviter pour préserver la santé de votre peau :

Les aliments riches en oméga-6

Les oméga-6 sont des acides gras nécessaires au fonctionnement de l'organisme, mais leur excès peut favoriser l'inflammation de l’organisme, particulièrement en cas d'eczéma. Ces graisses se trouvent en quantité importante dans :

  • les huiles végétales comme l'huile de tournesol, de maïs ou de soja,

  • les produits transformés et industriels (chips, plats préparés).

Les aliments à indice glycémique élevé

Les aliments riches en sucres augmentent rapidement la glycémie, entraînant une production d'insuline qui stimule les réactions inflammatoires cutanés. Ces aliments incluent :

  • les sucres raffinés (gâteaux, bonbons, pâtisseries),

  • les sodas et les boissons sucrées.

Les produits laitiers

Bien que les produits laitiers ne soient pas directement responsables de l'eczéma, ils peuvent provoquer des réactions inflammatoires chez les personnes sensibles. Cela concerne notamment :

  • le lait de vache,

  • les fromages à pâte dure.

Aliments à privilégier pour apaiser les symptômes de l'eczéma

Les aliments riches en oméga 3 et leurs bienfaits

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels reconnus pour leurs vertus anti-inflammatoires. Ils éliminent l'inflammation de la peau, apaisent les démangeaisons et renforcent la barrière cutanée, souvent fragilisée chez les personnes souffrant d'eczéma. Intégrez dans votre alimentation :

  • les poissons gras : saumon, maquereau, sardines ou hareng,

  • les graines de lin : riches en oméga-3, 

  • les noix, 

  • les huile de colza.

Fruits et légumes anti-inflammatoires à intégrer au quotidien

Certains fruits et légumes contiennent des composés anti-inflammatoires qui permettent d'apaiser les rougeurs et irritations :

  • les légumes verts : épinards, brocolis, choux kale, qui sont des sources de vitamines et minéraux bénéfiques pour la peau, 

  • les aliments riches en vitamine C : agrumes, kiwis, poivrons, pour stimuler la production de collagène et favoriser la cicatrisation.

En complément de ces habitudes alimentaires, il est essentiel de bien prendre soin de sa peau au quotidien. En cas de crise d'eczéma, n'hésitez pas à consulter votre pharmacien. Il pourra vous conseiller des traitements pour soulager les démangeaisons et prévenir les poussées. Toutefois, si les symptômes persistent ou s'aggravent, il est important de consulter un médecin pour une prise en charge adaptée.

 

Sources : 

https://www.vidal.fr/maladies/peau-cheveux-ongles/dermatite-eczema-atopique.html 

https://www.elsan.care/fr/pathologie-et-traitement/maladies-de-la-peau/eczema%7Ccauses%7Ctraitements 

https://www.associationeczema.fr/eczema-peut-il-laisser-des-cicatrices-sur-votre-peau/#:~:text=Plus%20facile%20%C3%A0%20dire%20qu,thermale%20fra%C3%AEche%20sur%20des%20compresses

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https://www.mesoigner.fr/conseils/732-reduire-leczema-grace-a-lelimination-de-certains-aliments
<![CDATA[Douleurs articulaires : conseils et traitements pour les atténuer]]> Le saviez-vous ? Près de 8 Français sur 10 ont déjà souffert de douleurs articulaires au moins une fois dans leur vie. Ces douleurs, parfois légères, peuvent également se révéler particulièrement intenses et handicapantes. Elles ne se limitent pas aux personnes âgées : bien qu'elles soient souvent associées à l'usure des articulations avec l'âge, elles peuvent survenir à tout moment et être causées par des inflammations, des tendinites, ou des traumatismes.

En cas de crise, ces douleurs peuvent altérer considérablement la qualité de vie, voire devenir invalidantes, rendant les activités du quotidien difficiles. Bien qu'il n'existe pas de remède pour les éliminer, il est tout à fait possible d'atténuer ces douleurs et de les soulager grâce à des solutions adaptées. Découvrons ensemble les causes, les symptômes et les différentes options pour mieux vivre avec ces douleurs articulaires.

Comprendre les douleurs articulaires

Pour bien appréhender les douleurs articulaires, il est essentiel de comprendre comment fonctionne une articulation et ce qui peut provoquer des désagréments. Les articulations jouent un rôle fondamental dans la mobilité de notre corps. Elles sont composées de plusieurs éléments : le cartilage (tissu glissant qui recouvre l’os), les os, la capsule articulaire (membrane qui enveloppe l’articulation), la membrane synoviale (revêtement qui tapisse l’intérieur de la capsule articulaire et qui sécrète le liquide synovial), le ménisque.

Quelles sont les causes des douleurs articulaires ?

Les articulations, qui dépendent de nos os, jouent un rôle clé dans notre capacité à bouger et à effectuer les gestes du quotidien. Cependant, un certain nombre d'affections peuvent entraîner des douleurs articulaires, dont les origines varient. Voici les principales causes :

  • L'arthrose : cette maladie chronique est due à l'usure progressive du cartilage qui recouvre les os au niveau des articulations. L'arthrose est souvent associée au vieillissement, mais elle peut également être favorisée par des facteurs comme le surpoids, une activité sportive excessive ou les modifications hormonales après la ménopause. 

  • L'arthrite : il s'agit d'une inflammation de l'articulation, qui peut survivre de façon aiguë (soudainement) ou chronique (sur le long terme). L'arthrite peut résulter d'une infection, d'une maladie auto-immune, ou encore de dépôts de cristaux, comme ceux causés par l'acide urique dans la goutte.

  • Traumatismes : des blessures telles que les fractures, entorses ou chocs directs sur une articulation peuvent provoquer des douleurs parfois prolongées.

  • Inflammations des tissus adjacents : les tendons ou ligaments situés autour des articulations peuvent être à l'origine de douleurs, notamment en cas de tendinite ou de bursite.

  • Infections et maladies métaboliques : des affections comme la grippe, des infections bactériennes ou encore la goutte (due à un excès d'acide urique) peuvent également affecter les articulations et provoquer des douleurs.

Quels sont les symptômes des douleurs articulaires ?

Les symptômes varient en fonction des causes des douleurs articulaires. Dans le cas de l'arthrose, les douleurs articulaires sont généralement plus marquées au réveil ou après une période de repos prolongée. Elles s'atténuent au fur et à mesure que l'articulation se "réchauffe" avec les mouvements. 

Pour l'arthrite, les articulations touchées peuvent apparaître rouges, gonflées, et chaudes au toucher, signe d'inflammation. Contrairement à l'arthrose, les douleurs ne diminuent pas au fil de la journée et peuvent persister, même au repos.

À long terme, si les douleurs articulaires ne sont pas prises en charge, elles peuvent conduire à des déformations des articulations, rendant les mouvements douloureux et de plus en plus limités. Cela peut réduire considérablement la mobilité des personnes concernées, impactant leur qualité de vie.

Solutions pour soulager et traiter les douleurs articulaires

Vous avez des douleurs articulaires, les genoux qui coincent ou encore du mal à vous déplacer ? Les douleurs articulaires peuvent être passagères ou bien régulières, l’intensité peut elle aussi varier. Mais quelles sont les solutions pour y faire face ? 

Comment soulager les douleurs articulaires ?

Pour soulager les douleurs articulaires, il faut tout d’abord avoir une bonne hygiène de vie. Il est important de manger sainement, bien s’hydrater, bien dormir et ne pas fumer. Cela permet à l’organisme de récupérer plus facilement et de réduire plus vite les douleurs. Éviter le surpoids et pratiquer une activité physique non traumatique comme la marche ou la natation amélioreront les douleurs. Si l’on pratique un sport intensif et de façon régulière, il faut penser à bien échauffer les articulations par des mouvements de rotation (chevilles, genoux, poignets).

  • Pour les arthrites, l’application d’une poche de glace améliore les douleurs.

  • Pour l’arthrose, il faut prendre son temps le matin, pour une remise en action des articulations de façon douce, s’aider au moyen d’une canne pour soulager les appuis sur les articulations douloureuses, et très important s’équiper d’une bonne paire de chaussures qui maintient bien le pied.

Quels traitements prendre pour les douleurs articulaires ?

Les douleurs articulaires aiguës sont traitées par des médicaments antalgiques comme le paracétamol, l’aspirine ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène ou le kétoprofène. Les cas particuliers des arthrites infectieuses, seront traitées par des antibiotiques sous avis du médecin. Quand les douleurs articulaires sont mineures, on peut partir sur des traitements à base de phytothérapie, d’homéopathie, d’oligoéléments, ou d’aromathérapie.

Enfin, il est important de tenir compte des causes de votre douleur articulaire. Certains symptômes de la douleur articulaire peuvent être préoccupants. N’hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien, en cas de douleurs aiguës ou persistantes dans un second temps, il faudra consulter votre médecin traitant.

Cet article a été rédigé par Elodie Duqueenne en 2021 et mis à jour par Xavier Mosnier-Thoumas en 2024

Sources :  

https://www.vidal.fr/maladies/appareil-locomoteur/douleurs-articulaires.html 

https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-osseux-articulaires-et-musculaires/sympt%C3%B4mes-des-troubles-musculosquelettiques/douleurs-articulaires-plusieurs-articulations

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https://www.mesoigner.fr/conseils/494-douleurs-articulaires-conseils-et-traitements-pour-les-attenuer
<![CDATA[Comment pratiquer un lavage de nez chez un nourrisson]]> Comment pratiquer un lavage de nez chez un nourrisson ?

Dès qu’un bébé présente une rhinopharyngite, ou en cas de bronchiolite, il est essentiel de désencombrer son nez dès qu’il est obstrué par des sécrétions. Cela facilite la respiration du nourrisson, qui respire uniquement par le nez, et améliore son confort.

Le lavage de nez est à privilégier avant les repas (pour prévenir les vomissements) et avant le coucher.

N’hésitez pas à demander à votre médecin, pédiatre ou kinésithérapeute de vous montrer la bonne technique. Découvrez les 6 étapes pour nettoyer efficacement le nez d’un nourrisson !

  1. Lavez-vous les mains avec soin. Munissez-vous de dosettes de sérum physiologique à usage unique.
  2. Couchez-le sur le côté ou sur le ventre, en maintenant sa tête tournée sur le côté. Si nécessaire, demandez de l’aide pour le maintenir.
  3. Placez doucement l’embout du sérum à l’entrée de la narine et pressez-le. Le liquide, accompagné des sécrétions, ressortira par l’autre narine.
  4. Attendez que votre bébé déglutisse et que les sécrétions s’écoulent bien.
  5. Essuyez délicatement les narines avec un mouchoir jetable.
  6. Si le nez n'est pas suffisamment désobstrué, tournez votre bébé sur l’autre côté, puis répétez l’opération pour la seconde narine.

Astuce : Si votre bébé bouge beaucoup et que vous êtes seul(e), enveloppez-le dans une serviette pour l’immobiliser. Cela évitera tout risque de blessure avec l’embout de la dosette.

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https://www.mesoigner.fr/conseils/731-comment-pratiquer-un-lavage-de-nez-chez-un-nourrisson
<![CDATA[Comment se préparer pour une prise de sang ou un examen médical ?]]>  

Comment se préparer pour une prise de sang ou un examen médical ?

Une bonne préparation avant un examen médical peut faire toute la différence pour des résultats fiables et une expérience plus sereine. Voici 6 étapes simples pour être prêt !

 

  1. Assurez-vous de bien comprendre les consignes données par votre médecin. Certains examens nécessitent un jeûne (pendant 8 à 12 heures).
  2. Si vous avez une condition médicale particulière, un traitement en cours, n’hésitez pas à en informer le personnel.
  3. Il est préférable de rester calme et reposé pour obtenir des résultats précis.
  4. Portez des vêtements à manches courtes ou facilement relevables pour faciliter l'accès à votre bras. 
  5. N'oubliez pas d'apporter votre ordonnance, votre carte d'identité, et votre carte de sécurité sociale et mutuelle.
  6. Pensez à écouter de la musique apaisante ou à pratiquer une technique de relaxation avant l'examen.
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https://www.mesoigner.fr/conseils/730-comment-se-preparer-pour-une-prise-de-sang-ou-un-examen-medical
<![CDATA[Quels aliments riches en fer favorisent une meilleure santé ?]]> L’OMS Organisation Mondiale de la Santé, estime qu’en moyenne 600 à 700 millions de personnes souffrent de carence en fer. La cause principale ? Les carences nutritionnelles, et en particulier celles en fer. Cet oligo-élément essentiel, que l’on trouve principalement dans une alimentation variée d’origine animale et végétale, joue un rôle clé dans le bon fonctionnement de l’organisme : il influe sur notre humeur, notre système immunitaire et bien d’autres aspects de notre santé.

Malgré son importance, le fer est à l’origine de la carence nutritionnelle la plus répandue dans le monde, touchant particulièrement les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées. Comment éviter ces carences et quels aliments privilégier pour un apport optimal en fer ? Découvrons ensemble les meilleures sources de fer pour favoriser une santé équilibrée.

Quel est le rôle du fer dans l’organisme ? 

Les bienfaits du fer pour la santé 

Le fer est un élément essentiel au bon fonctionnement de l'organisme. Il joue un rôle clé dans de nombreuses fonctions biologiques, notamment en tant que composant principal des globules rouges, où il contribue à l'oxygénation des tissus et des muscles. Cette fonction permet à nos cellules de recevoir l'énergie nécessaire pour assurer leurs activités quotidiennes.

Une carence en fer peut entraîner une anémie ferriprive, caractérisée par des difficultés à transporter l'oxygène dans les cellules. Cette condition provoque des symptômes variés : fatigue chronique, maux de tête, essoufflement, voire des vertiges. Ces signes doivent alerter, car une anémie non traitée peut avoir des conséquences sérieuses sur la santé.

Quelles sont les personnes concernées par les carences en fer ? 

L'anémie est une condition due principalement à une carence en fer qui touche des millions de personnes dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), elle concerne 42% des enfants de moins de cinq ans et 40% des femmes enceintes. Certaines populations sont plus exposées aux carences en fer en raison de différents facteurs :

  • La croissance : les nourrissons, les enfants et les femmes enceintes ont des besoins accumulés en fer pour soutenir le développement du fœtus ou l'organisme en pleine croissance.

  • Des pertes abondantes de sang : les femmes durant leur cycle menstruel, ainsi que les personnes souffrant de troubles comme l'hémophilie, sont plus susceptibles d'être carencées.

  • Une mauvaise absorption du fer : certaines inflammations ou infections, ainsi que des troubles digestifs comme la maladie cœliaque, peuvent limiter l'absorption de cet oligo-élément par l'organisme.

Ces groupes à risque doivent être particulièrement vigilants quant à leur apport en fer et examiner des solutions adaptées, telles qu'une alimentation ciblée ou des compléments alimentaires, en concertation avec un professionnel de santé.

Quels aliments contiennent le plus de fer ? 

Principaux aliments riches en fer 

Il existe deux types de fer dans notre alimentation :

  • Le fer héminique : présent uniquement dans les aliments d'origine animale comme la viande, le poisson et les œufs. Ce type de fer est particulièrement intéressant car il est cinq fois mieux assimilé par l'organisme que le fer non héminique.

  • Le fer non héminique : présent dans les aliments d'origine végétale (lentilles, haricots, soja, graines, etc.) ainsi que dans les produits laitiers. Bien qu'il soit moins bien absorbé par l'organisme, il reste une source importante de fer, surtout pour les personnes suivant un régime végétarien ou végétalien.

Les meilleures sources de fer héminique incluent la viande rouge, la volaille, le foie et certains poissons comme les sardines ou les huîtres. Pour le fer non héminique, les aliments phares sont les légumineuses, les légumes verts à feuilles (comme les épinards) et les graines (graines de tournesol, graines de chia).

Quelques conseils pour améliorer l’absorption du fer 

Le fer est un élément essentiel que l'organisme ne peut pas produire lui-même. Il doit donc être apporté par l'alimentation. Son absorption varie en fonction des réserves de fer de l'organisme, ce qui limite naturellement les excès.

Voici des astuces pour optimiser l'assimilation du fer :

  • Associez fer et vitamine C : consommez des aliments riches en fer avec des sources de vitamine C (poivrons, agrumes, fruits rouges, choux). Par exemple, un filet de citron sur des épinards ou un jus d'orange frais avec des céréales enrichies en fer.

  • Privilégiez des produits animaux frais : viande, poisson ou œufs, de préférence non transformés, sont d'excellentes sources de fer héminique.

  • Incluez des végétaux riches en fer : lentilles, pois chiches, haricots rouges, soja, ou encore graines de tournesol sont pris en compte dans une alimentation équilibrée.

Cependant, certains aliments et boissons peuvent entraver l'absorption du fer :

  • Le thé, le café et le cacao, consommés en excès, diminuent la capacité d'assimilation du fer.

  • Certains plats cuisinés ultra-transformés peuvent contenir des additifs ou des composés qui interfèrent avec l'absorption.

En suivant ces conseils, vous pourrez maximiser l'apport en fer dans votre alimentation et préserver votre santé. N'hésitez pas à demander conseil à un professionnel de santé en cas de doute ou de besoin spécifique.

 

Sources : 

https://www.who.int/fr/health-topics/anaemia#tab=tab_1 

https://www.blutspende.ch/fr/magazine/alimentation-en-cas-de-carence-en-fer#:~:text=Le%20lait%20et%20les%20produits,les%20produits%20congel%C3%A9s%20non%20transform%C3%A9s

https://www.anses.fr/fr/content/tout-savoir-sur-le-fer#:~:text=Les%20besoins%20en%20fer%20peuvent,des%20l%C3%A9gumes%20%C3%A0%20feuilles%20vertes

https://www.caducee.net/DossierSpecialises/EUFIC/le-fer.asp

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https://www.mesoigner.fr/conseils/729-quels-aliments-riches-en-fer-favorisent-une-meilleure-sante
<![CDATA[Faites le plein de vitamines avant les fêtes : renforcez votre corps en hiver]]> L'hiver arrive avec son lot de festivités, mais aussi des défis pour le corps : le manque de soleil, la baisse de lumière et le froid mettent souvent nos défenses immunitaires à l'épreuve ! En cette saison où l'on peut se sentir plus fatigué, l'alimentation reste essentielle pour faire le plein de vitamines, même si les choix de fruits et légumes sont plus restreints. Bien adaptées aux besoins de chacun, les cures de vitamines peuvent offrir un soutien précieux à votre santé, sans toutefois se substituer à une alimentation équilibrée et variée.

Les bienfaits essentiels des vitamines pour l'hiver

En hiver, notre organisme traverse des conditions exigeantes. Pour traverser cette saison en pleine forme, les vitamines sont nos alliées : elles contribuent à renforcer le système immunitaire, à maintenir notre énergie et à soutenir les fonctions essentielles comme la croissance osseuse. La vitamine C et la vitamine D, en particulier, jouent un rôle clé pour mieux affronter les maux hivernaux. Comprendre les bienfaits de ces vitamines vous aidera à garder une santé optimale jusqu'au retour du printemps.

Pourquoi avons-nous besoin de vitamines ?

Fatigue persistante, baisse d'énergie, troubles de la concentration et affaiblissement du système immunitaire : un manque de vitamines peut sérieusement affecter votre organisme et votre bien-être quotidien. Les vitamines sont des nutriments essentiels qui, bien qu'elles ne fournissent pas directement d'énergie, sont indispensables au bon fonctionnement de toutes nos cellules. Elles jouent un rôle fondamental dans de nombreuses fonctions biologiques, comme la croissance et le développement, la transformation et l'utilisation des macronutriments, ainsi que le maintien des systèmes immunitaire, nerveux et sanguin.

La vitamine D est la seule que le corps peut synthétiser de manière autonome. Toutes les autres vitamines doivent être suggérées par l'alimentation pour garantir des apports suffisants et réguliers.

Les vitamines liposolubles et hydrosolubles : quelles différences ?

Les vitamines se divisent en deux catégories : liposolubles et hydrosolubles, chacune ayant des propriétés uniques qui influencent leur rôle et leur stockage dans l'organisme. 

  • Les vitamines liposolubles (A, D, E, K) sont solubles dans les graisses et peuvent être stockées dans les tissus adipeux et le foie, garantissant ainsi une réserve utilisable au fil du temps. 

  • Les vitamines hydrosolubles (C, B1, B2, B3 ou PP, B6, B8, B9, B12) sont solubles dans l'eau et ne s'accumulent pas dans le corps. Elles sont éliminées par les urines, ce qui nécessite un apport quotidien pour éviter les carences.

Les vitamines à préserver avant l'hiver

Vous vous demandez quelles sont les vitamines essentielles avant l'arrivée de l'hiver et comment les intégrer dans votre alimentation ? Certaines vitamines jouent un rôle clé pour rester en forme pendant la saison froide, notamment la vitamine C et la vitamine D.

La vitamine C pour booster l'énergie et l'immunité

La première vitamine importante est la vitamine C, elle intervient dans de grandes fonctions de l’organisme comme la défense contre certaines infections (grippe, rhume), ou l’assimilation de fer. Elle aide à combattre les baisses d’énergie durant l’hiver. Son apport quotidien recommandé est de 110 mg pour les adultes. Les besoins en vitamine C sont augmentés dans certaines situations pathologiques (fracture, infections, traitement anticancéreux) mais également en fonction des modes de vie (activité physique intense, consommation excessive d’alcool, tabagisme).

La vitamine D : essentielle avec moins de soleil

La deuxième vitamine importante est la vitamine D que le corps est capable de produire sous l’action des UV du soleil. En hiver, le soleil étant en quantité insuffisante, la production de vitamine D est plus faible. La vitamine D joue un rôle essentiel dans la qualité du tissu osseux et musculaire ainsi que dans le renforcement de notre système immunitaire. Sa référence nutritionnelle est de 15 microgrammes par jour pour les adultes. Les femmes enceintes, ménopausées, les personnes âgées et les personnes à peau mate ou foncée sont des personnes plus à risque de baisse de vitamine D.

Pour affronter l'hiver en toute sérénité, il est essentiel de veiller à un apport suffisant en vitamines comme la vitamine C et la vitamine D, particulièrement utiles pour renforcer le système immunitaire et rester énergique malgré les températures basses. 

N'hésitez pas à vous rapprocher de votre pharmacien pour un conseil personnalisé afin de bien choisir les vitamines adaptées à vos besoins. Cela aidera à maintenir votre santé et votre vitalité tout au long de la saison hivernale !
 

Sources : 

https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/alimentation-adulte/alimentation-adulte-types-aliments/vitamines-et-mineraux 

https://nutriandco.com/fr/blog/vitamines-liposolubles-et-hydrosolubles-roles-et-differences-n133#:~:text=Ce%20qu'il%20faut%20retenir,poudre%20(g%C3%A9lules%20ou%20comprim%C3%A9s). https://www.francebleu.fr/emissions/bienvenue-chez-vous-en-alsace-les-specialistes/renforcer-son-immunite-avant-l-hiver-astuces-naturelles-pour-eviter-les-petits-maux-saisonniers-6149846

 

Cet article a été rédigé par Elodie Duqueenne en 2021 et mis à jour par Xavier Mosnier-Thoumas en 2024

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https://www.mesoigner.fr/conseils/502-faites-le-plein-de-vitamines-avant-les-fetes-renforcez-votre-corps-en-hiver
<![CDATA[Comment réduire le risque de crises d’asthme ?]]>

  1. Minimisez votre exposition aux facteurs qui déclenchent vos crises (comme la poussière, le pollen, les poils d'animaux, la fumée de cigarette, ...).
  2. Limitez l'accumulation de poussière en nettoyant régulièrement et en privilégiant des housses anti-acariens pour le lit et les oreillers.
  3. L'exercice physique peut renforcer vos poumons, mais il est important de le faire de manière adaptée et recommandée par votre médecin.
  4. Si vous prenez un traitement de fond prescrit, il est essentiel de le prendre même en l'absence de symptômes. Ne pas le modifier ou l'arrêter sans avis médical.
  5. Tenez un journal de vos symptômes, de vos déclencheurs, et des moments où vous utilisez un traitement d’urgence pour ajuster votre suivi médical.
  6. Apprendre des techniques de relaxation peut réduire la tension et aider à mieux gérer les symptômes.
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https://www.mesoigner.fr/conseils/726-comment-reduire-le-risque-de-crises-dasthme
<![CDATA[Rhume ou grippe : comment les distinguer ?]]> Depuis quelques jours, vous éternuez, vous avez mal à la tête ou le nez qui coule ? En hiver, il est parfois difficile de distinguer une simple infection virale d'un rhume de la grippe. Pourtant, ces deux affections présentent des différences notables dans leurs symptômes : fièvre, fatigue, éternuements ou toux, autant de signes qui peuvent aider à les différencier. Dans cet article, découvrez les indices clés pour savoir si vous êtes confronté à un rhume ou à une grippe, ainsi que des conseils pratiques pour prévenir et gérer efficacement les symptômes.

Différencier les symptômes du rhume et de la grippe 

La rhume et la grippe sont deux infections virales courantes, mais elles diffèrent par leur intensité et leurs symptômes. Le rhume, souvent bénin, se manifeste principalement par un nez qui coule, des éternuements et un léger inconfort. La grippe est une infection respiratoire aiguë provoquée par le virus de la grippe, qui entraîne des symptômes plus graves : forte fièvre, fatigue intense, maux de tête et douleurs musculaires

Fièvre et maux de tête

Fièvre 

En cas de rhume, la fièvre est rare et se manifeste rarement par une montée en température. En revanche, le patient atteint d’une grippe présente une forte fièvre avec une température située entre 39 à 40°C, pendant deux à trois jours. C’est un signe distinctif de la grippe qui peut aider à la reconnaître.

Mal de tête 

Les maux de tête sont eux aussi peu fréquents lors d’un rhume. Une grippe, par contre, se caractérise par des maux de tête qui peuvent être sévères, intenses et persistants. 

Fatigue, éternuements et toux

Fatigue 

La fatigue est un des premiers symptômes de la grippe et peut être très marquée, laissant souvent le patient s'affaiblir pendant plusieurs jours. En comparaison, un rhume entraîne rarement une grande fatigue et les patients restent généralement plus actifs.

Éternuements

Lorsqu'on a un rhume, les éternuements sont fréquents et constants. En cas de grippe, les éternuements peuvent survenir mais sont beaucoup moins réguliers.

Toux 

La toux due à la grippe est généralement forte et persistante, souvent accompagnée d'une sensation d'irritation dans la gorge. Avec le rhume, la toux reste plus légère et moins fréquente, s'accompagnant rarement de gêne importante.

Conseils pour mieux se protéger et se rétablir

Chaque année en France, la grippe saisonnière est responsable de près de 10 000 décès, notamment chez les personnes les plus fragiles, comme les seniors et les personnes immunodéprimées. Bien que le rhume soit moins grave, il reste gênant et peut affaiblir les défenses immunitaires. 

Prévenir le rhume et la grippe

La prévention est la meilleure arme pour éviter d'attraper un rhume ou la grippe, surtout pendant la saison hivernale ! Adoptez des gestes simples mais efficaces : 

  • lavez-vous fréquemment les mains avec de l'eau et du savon, 

  • aérez quotidiennement votre intérieur pour renouveler l'air et limitez les contacts rapprochés avec les personnes malades, 

  • conservez une bonne hygiène de vie (alimentation équilibrée, hydratation, sommeil suffisant).

Adopter les bons réflexes en cas de symptômes

En cas de symptômes persistants ou sévères, n'hésitez pas à consulter un professionnel de santé, qui pourra vous conseiller ou prescrire un traitement adapté. Adopter ces gestes dès les premiers signes peut aider à éviter des complications et à favoriser un rétablissement plus rapide.
 

Sources : 

https://www.santemagazine.fr/sante/fiche-maladie/grippe-chiffres-epidemie-en-france-symptomes-traitement-177163 

https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/grippe-rhume-et-gastro/differences-entre-la-grippe-et-le-rhume 

https://www.biron.com/fr/centre-du-savoir/petit-guide-biron/grippe/ 

https://www.hck.ma/fr/info-sante/rhume-et-grippe-quelle-difference-et-comment-sen-p/?page=1

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https://www.mesoigner.fr/conseils/12-rhume-ou-grippe-comment-les-distinguer